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Il y a quelques années, la Namibie, ex-Sud-Ouest africain, n’était connue qu’à travers le combat que menait la SWAPO, à l’ONU et sur le terrain, pour que l’ancienne colonie allemande, administrée dans l’illégalité par l’Afrique du Sud, devienne enfin libre. Sept ans après une indépendance occultée par la chute du mur de Berlin, et les bouleversements que vécurent les pays d’Europe de l’Est, les dirigeants de la jeune nation namibienne sont parvenus à inscrire leur pays sur la carte du monde. Pour la plupart des Français, la Namibie reste cependant une terra incognita, perdue quelque part au sud du continent africain, à l’écart des convulsions qui, de loin en loin, appellent l’intérêt fugace des médias. Pourtant, entre l’Angola déchiré par la guerre civile, et une Afrique du Sud livrée aux incertitudes d’une ère nouvelle, une authentique démocratie, pacifique et prospère, s’épanouit. Autour d’une capitale au nom imprononçable, Windhoek, s’étendent des paysages de désert et de savane qui comptent parmi les plus beaux du monde. Enfin, au sein d’une population d’à peine 1,65 million d’habitants, coexistent de nombreux groupes ethniques qui, chacun à sa manière, ont forgé l’identité multiforme du pays. Si, en dehors de sa valeur d’exemple, la petite Namibie n’a pas grand-chose pour mobiliser l’actualité internationale nourrie de conflits et de drames, elle offre en revanche un environnement attrayant pour les visiteurs étrangers et propice aux investisseurs : un climat politique remarquablement sain, des institutions stables et une absence totale d’entraves aux libertés publiques, des infrastructures (télécommunications, hôtellerie, réseau routier, services hospitaliers) de grande qualité. Enfin, ses ressources naturelles – mines, pêches, élevage et tourisme – lui assurent une prospérité relative, et lui valent d’être aujourd’hui l’un des deux seuls pays du continent africain exportateurs nets de capitaux.