Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La musique des romantiques s’inscrit à la suite de La musique des Lumières (de Béatrice Didier), dans la conception de la collection « Écriture » qui se préoccupe de la façon dont naissent les styles, les poétiques, dont les genres non répertoriés dans la rhétorique classique peuvent exister. Le développement de la musique en France, approximativement dans toute la première moitié du XIXe siècle, a provoqué, d’une part, un goût nouveau (qu’on va appeler romantique) dominé par les Classiques viennois et l’opéra international, d’autre part, une façon renouvelée d’écrire, la naissance de genres inédits (le livret d’opéra, la poésie à mettre en musique, la « sonate de poésie ») ; par-dessus tout, le roman a voulu être soit le roman de l’artiste musicien (G. Sand), soit le roman de la musique dans son mystère (Balzac), soit le roman qui recrée pour un lecteur dilettante le même plaisir que l’on éprouve à l’opéra (Stendhal). En d’autres termes, le romantisme français est très largement dominé, dans sa genèse comme dans ses formes, par le cosmopolitisme musical.