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La revendication d'une supériorité de la loi de Dieu sur celle des hommes n'est pas nouvelle. Elle a été affirmée de manière récurrente par l'Église catholique, avec un pic significatif au XIXe siècle, et est dorénavant présente dans les médias et les réseaux sociaux avec une insistance portée sur une présumée incompatibilité entre deux systèmes normatifs. Face aux droits humains comprenant la liberté positive et négative de religion, la liberté de changer de religion, le respect de la dignité humaine et l'égalité entre hommes et femmes s'opposerait une loi intemporelle et intouchable, voulue par Dieu. Or une cohabitation paisible entre les normes religieuses et les droits humains est possible grâce à un effort de contextualisation des normes religieuses, qui permet le dépassement d'une approche littéraliste faisant obstacle à l'intégration des groupements religieux dans la société. Ce possible consensus est notamment adossé à l'existence d'un dialogue mené entre les religions et les pouvoirs publics, qui permet de dégager en amont des solutions acceptables pour les autorités religieuses dans le cadre des régimes des cultes. Ces régimes prennent en compte les particularités des institutions et des activités religieuses dans le respect des droits humains et des lois valables pour tous.