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« Les gens, quand ils s’en vont… Oh ! bien sûr, vous autres avez un autre mot pour cela, mais, moi, je préfère dire quand ils s’en vont… En vérité, il leur suffit de reculer un peu. Tout juste un tout petit peu. D’un pas ou deux, peut-être. Pas la peine d’aller bien loin, au bout du monde ou ailleurs. Ou nulle part. Du moment où ils ont passé la lisière, aussitôt leurs traits se brouillent, leurs voix s’éteignent… Bon, pas entièrement. Quand on se souvient d’eux, ce qui persiste le plus longtemps c’est encore leur sourire. Oui. Leur tendre, leur ineffaçable sourire… »
De retour à la Devinière, la maison de vacances familiale, Fabien est brusquement replongé dans son passé, revivant avec une remarquable précision un événement marquant de son enfance, comme si c’était hier…
Reprenant des thèmes chers à l’auteur (le Paradis perdu de l’enfance, la mémoire, les liens invisibles entre les êtres), ce premier roman posthume de Michel Suffran est une belle occasion de (re)découvrir cet auteur majeur, dont la plume d’orfèvre n’a cessé de charmer.