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Pour incarner les forces vibratoires qui traversent l’écoute sonore, tous les moyens sont bons. Du récit expérientiel à la formulation poétique. Des griffons aux mandalas. L’écoute vibrante innerve une écriture résonnante. La figure du cocon de soie que l’on dévide témoigne de la transformation en cours. Plonger le cocon (œuvre sonore) dans l’eau bouillante (écoute vibrante) pour le ramollir, l’agiter avec un petit balai (crayon, pinceau), en dégager les fils (mots et dessins résonnants), attacher ceux-ci au métier (feuille, papier) et les enrouler sur l’écheveau (livre). Ainsi peut se résumer l’approche novatrice de La langue des sons.
Ce livre, depuis la résonance de H. Rosa jusqu’au langage sonore des dauphins de John Cunningham Lilly, poursuit les recherches sur le corps sonore. Plus que le corps indice, l’espace sonore par ses vibrations nous ouvre ici à l’indicible. Ce qui ne peut se dire s’entend. Encore faut-il l’écouter à travers des dispositifs émersifs que Louise Boisclair invente depuis la vivacité corporelle. Cette activation est vitale à lire et comprendre. Bernard Andrieu