Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
La grande illusion est ici une croyance erronée, et le titre d’un film de Jean Renoir de 1937. Le livre part de l’attaque furieuse du film par Céline dans Bagatelles pour un massacre, et du conflit qui s’ensuivit. Il croise quelques figures du cinéma, Stroheim, Dalio, Gabin, Itkine, mais aussi, plus ténébreuses et très en vue, celles d’un ethnologue « racialiste » et d’un délirant spécialiste en onomastique. Ni procès à charge ni énième spéculation sur la distinction écrivain/pamphlétaire antisémite, c’est plutôt une fable, un conte, ou en musique une fantaisie ou un impromptu. Les discours de haine pseudo-scientifiques d’alors font penser à ceux des réseaux sociaux actuels. Depuis longtemps en effet les notions de race et d’assignation identitaire n’avaient aussi vénéneusement refleuri.
Jean Narboni est un ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma. Il y a fondé et dirigé les éditions du même nom, où il a notamment publié des ouvrages de Roland Barthes, Serge Daney, Eric Rohmer ou Jean Louis Schefer. Chez Capricci, il est l'auteur de La nuit sera noire et blanche, ...Pourquoi les coiffeurs ? Notes actuelles sur Le Dictateur, et Samuel Fuller, un homme à fables.