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Dans le prolongement de son essai Le Courage de la nuance, Jean Birnbaum l’affirme : on peut défendre ses idées politiques, même radicales, sans être un fanatique. Il y a mille raisons de s’insurger contre le monde tel qu’il est, mais agir comme si le sanglant XXe siècle n’avait pas eu lieu, c’est se condamner à refaire les mêmes erreurs, les mêmes horreurs. Afin de surmonter cette malédiction, Jean Birnbaum bâtit un pont entre les révoltes d’hier et d’aujourd’hui. Évoquant ses souvenirs de jeune militant, il propose un voyage en compagnie de figures comme George Orwell, Simone Weil ou Victor Serge. Parce qu’ils ont eu la force d’être justes, parce qu’ils ont dénoncé les mensonges et les crimes qui déshonoraient leur idéal, ces dissidents ont été traités de traîtres, de fascistes… Ce ne sont ni des héros ni des saints. Reste qu’ils ont indiqué une voie étroite. Lutter sans se mentir, s’engager les yeux ouverts, voilà qui relève de l’exception. Mais puisque tout est à refaire, c’est le seul pari digne de ce nom, plaide cet essai qui touche par son humour et sa sensibilité.