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Aux États-Unis, la musique folk a accompagné l’essor des minorités et la contestation sociale, ce, depuis l'enregistrement de chants amérindiens et africain-américains par les premiers ethnomusicologues, en passant par la musique des ouvriers anarchistes, jusqu’au succès de Woody Guthrie qui chantait pour les fermiers migrants pendant la Grande Dépression. Dans les années cinquante, un milieu underground a ressuscité les traditions folks : le folk revival préfigurait la lutte pour les droits civiques. Devenue par la suite plus commerciale, la musique folk se combinant avec le rock s’est éloignée de la politique. Bien qu’incarnée pour beaucoup par Bob Dylan ou Joan Baez, la musique folk a une histoire antérieure et souterraine largement méconnue en France que cet ouvrage propose d’explorer.
Régis Meyran est journaliste (Alternatives économiques, Sciences Humaines, Le Courrier de l’UNESCO...) et anthropologue associé à l’Ecole pratique des hautes études. Auteur d’études et d’ouvrages sur les questions de racisme et d’identité mais aussi sur la question de la démocratie, il anime avec Michel Wieviorka et Philippe Portier la plateforme internationale sur le racisme et l’antisémitisme.