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Les premiers romans qui annoncent déjà toute l'œuvre – et la verve – de l'auteur de L'Homme surnuméraire et de La Vie des spectres, enfin réunis en un seul volume accompagné de nombreux inédits.Une œuvre littéraire avance comme un iceberg sur le cours de l'actualité et le flot des publications : lentement, irrésistiblement, et avec sa part immergée, invisible mais essentielle. En 2017, Patrice Jean a surpris la critique et les lecteurs avec son roman visionnaire, L'Homme surnuméraire. Une découverte pour beaucoup. Mais ce livre impressionnant, aussi bien dans sa construction que dans son écriture, n'avait rien d'un coup d'essai. Il s'inscrivait dans le sillage de trois autres romans, moins connus et célébrés en leur temps, qui annonçaient tous, chacun à leur manière, les thèmes fondateurs du romancier. La fin du monde avait pourtant bien commencé rassemble ces ouvrages décisifs. Ils n'ont rien perdu de leur charge explosive, de leur ironie dévastatrice et, surtout, de leur exigence stylistique. La France de Bernard est une comédie de mœurs mordante et le grand roman de la bêtise contemporaine : un Bouvard sans Pécuchet, perdu chez Festivus. Les Structures du mal s'impose comme un mélodrame flamboyant et un récit poignant sur le renoncement au cœur de toute vie. Revenir à Lisbonne, enfin, réussit à conjuguer les deux veines précédentes dans un roman court à l'inventivité saisissante. Trois livres qui sont ici complétés par des inédits : nouvelles, aphorismes, chroniques et essais littéraires. Une redécouverte qui a tout d'une révélation.