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Un soir de sa vie, dans un dernier souffle, Marie décide de livrer à sa fille Adèle l’histoire de sa propre enfance, qu’elle lui a toujours tue. Joseph et Madeleine, ses parents, n’ont connu qu’une vie de labeur à la ferme des Glycines. Marie et Jean, son petit frère, ont grandi là, sur une combe d’herbe grasse, les alouettes pour seuls témoins de leurs jeux. Mais Jean est différent. Il a beau converser avec les grillons, il ne parle pas, n’entend pas, et ça ne plaît pas à Joseph. Quand la grêle s’abat sur les Glycines, la démence s’empare du père jusqu’à gagner la famille tout entière.
Poétique et bouleversant, La fille de la grêle raconte la brûlure de l’enfance et la grande vieillesse, la folie et la culpabilité. C’est aussi un chant d’amour d’une mère à sa fille. Et une ode magnifique à la toute-puissance de la nature.
« J’ai tué la grêle, l’injustice et la violence du monde, j’ai tué la détresse d’un homme qui pleurait avec ses poings. »
Avis de lecture « Il y a longtemps, très longtemps que je n’ai pas lu un texte aussi prenant, aussi juste, aussi bouleversant et dont certains passages me font venir les larmes. » Jacques
« II y a la folie du père paysan face aux intempéries, la pauvreté les années de mauvaises récoltes, mais aussi le lien indéfectible entre la sœur et le frère, et le souvenir de pommes de terre cuites dans les cendres au goût de paradis. Un mélange doux amer d'une grande beauté. » Avantages