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Jacques Marrette a quitté sa loge qui fut le théâtre de ce que la bienséance conviendrait d’appeler « débauches », mais qui pour notre homme ne fut jamais qu’un quotidien simplement exempt d’ajustements moraux. Dans La femme du concierge, ce quotidien n’existe plus. Emporté par sa dernière conquête, le concierge, dont le capital sentimental qui existait de façon embryonnaire avait cuit comme fièvre d’adolescent au printemps pour la jeune Natacha, vit aujourd’hui loin de sa loge, loin de ses habitudes et surtout de ses jeunes habituées si promptes à le visiter comme on va au musée ou au zoo. De nouveau concierge dans un autre immeuble, il s’installe avec sa Natacha. Mais comme un juste retour des choses, tout va se compliquer pour la femme du concierge et cette fois, Jacques n’en sera pas responsable… ou du moins pas directement. Jean-Michel Jarvis est l’auteur de ZeP (Le Cercle, 2005), de Snuff Movie (Tabou, 2010), et bien sûr du Concierge (Tabou, 2014). Il affectionne les situations inattendues et décalées, se complaisant à confronter ses héroïnes au jeu de la transgression, leur donnant toujours la possibilité d’évaluer le prix de leur respectabilité face à des protagonistes pour le moins douteux sur le plan moral.