Des menhirs sculptés, identiques à ceux de l'âge du bronze d'Europe, dont les alignements forment une extraordinaire horloge astronomique ; des crânes d'Hommes de Cro-Magnon, c'est-à-dire de constructeurs de mégalithes ; 75 000 pièces de céramique - dont les plus anciennes ont pu, sur la base des analyses par radio-thermoluminescence faites au Centre de Recherches Nucléaires de Strasbourg, être datées de 1200 avant notre ère -, d'os et de métal, recueillies en cinquante ans de fouilles par l'archéologue français Emile Wagner, en tout point semblables à celles que Schliemann déterra dans les ruines de Troie ; une trentaine d'inscriptions runiques hyperboréennes et une autre, libyque... Sommes nous dans l'Egée, au XIIIe siècle av. J.-C., là où convergeaient les Nordiques qui fréquentaient les routes de l'ambre et les Libyens blonds qui les avaient précédés en Grèce, ces alliés qui constituaient la population de Troie jusqu'à la prise de la ville par les Achéens ? Non ; c'est dans le Nord-Ouest de l'Argentine que se trouve cet ensemble apparemment incompréhensible, dans cette Argentine où vivaient encore, à l'époque de la conquéte espagnole, des <
C'est en suivant les traces des Vikings d'Amérique du Sud que le professeur Jacques de Mahieu, au cours de deux campagnes sur le terrain, a ajouté à des données tangibles que nul, avant lui, n'avait su interpréter, les preuves définitives - en particulier, cranes et inscriptions - qui lui ont permis d'arriver à une conclusion indiscutable : un groupe de ces rescapés de Troie dont le sort constitue un mystère depuis trois mille ans s'était établi dans le <
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