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Nous recommençons une étude que nous avions déjà ébauchée il y a quelques années : l’étude psychologique du temps. C’était l’époque où M. Einstein était venu à Paris et où, de tous les côtés, on discutait les théories qu’il avait présentées sur la simultanéité, sur la durée des choses, sur les variations du temps qui s’allonge ou qui diminue suivant le point de vue duquel on le considère. Tout le monde parlait du temps ; nous étions obligés d’en parler aussi et nous trouvions intéressant de présenter quelques réflexions sur les humbles débuts du temps, sur le fait psychologique qui était le point de départ de toutes ces théories scientifiques. Cette étude reste cependant encore intéressante aujourd’hui. Il n’est pas mauvais de la préciser et de la compléter. En outre, le problème du temps reste toujours à la mode; dans les études des sociétés, dans les études psychologiques ou philosophiques, toujours on s’occupe de la durée de la conscience, de la durée de l’esprit, de l’adaptation des êtres vivants au temps qui change.