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Au carrefour d'un « fabuleux Moyen Âge », où les symboles alchimiques hantent l'inconscient collectif et rayonnent aux frontons des cathédrales, et d'un âge nouveau, où les lumières du monde grec viendront libérer l'Occident du carcan de la scholastique, Paracelse est à la médecine ce que Rabelais est à la littérature : il puise dans un savoir et des traditions aujourd'hui oubliés, sinon perdus, les éléments et les principes pour ouvrir l'art médical à une nouvelle connaissance et à de nouvelles pratiques. Le docteur Jacques-Émile Émerit et son ami Henri Coton-Alvart font partie des rares esprits contemporains à l'avoir compris. C'est un des aspects de leur travail que nous présentons aujourd'hui, avant qu'il ne sombre dans l'oubli. Commentaires et notes de Jean-François Gibert. Ouvrage traduit par Le Docteur Emerit. Auteur de quatre livres majeurs sur la médecine astrologique et l'acupuncture, il mena à bien « l'épopée du soufre rouge » avec l'aide de son maître et ami, Henri Coton-Alvart. Il traduisit intégralement Paracelse et Raymond Lulle. Son oeuvre est incontournable pour une étude approfondie du corps humain vue sous l'aspect de la médecine chinoise et de l'ancienne astrologie. Livre présenté par Henri Coton-Alvart dont les recherches en alchimie l'amenèrent à s'intéresser à la gravitation, à la lumière et aux grands problèmes métaphysiques. Il n'a jamais publié d'ouvrage de son vivant, mais il a laissé quelques articles et des écrits personnels, dont certains furent édités sous le titre que portait son étude préférée : « Les deux Lumières ». La préface en a été confiée à Henri La Croix-Haute qui, plus encore que son disciple, fut son ami.