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Née en 1824, Alphonsine Plessis s’est fait connaître sous le nom de Marie Duplessis, avant de devenir « La Dame aux camélias » et « La Traviata ». Elle est morte à vingt-trois ans, abandonnée de tous, et consumée par la maladie. Ce roman la fait revivre. Durant les derniers mois de son existence, elle écrit et se souvient : son enfance sordide en Normandie, le « grand malheur » qui la poursuivra jusqu’à sa mort, son initiation douloureuse au marché du plaisir, ses débuts à Paris, de modeste grisette ; et surtout, comment, façonnée par quelques hommes, du bel Agénor de Guiche à lord Seymour, de Franz Liszt à Alexandre Dumas, elle deviendra une des courtisanes les plus adulées de son époque, le diamant noir des fêtes et des folies de cette société tourbillonnante. Mais elle révèle aussi des secrets plus troublants, qui se nomment Flore et Stackelberg — jusqu’à ce dernier amour qui la brisera, Giuseppe. Car c’est autant par son éclat que par ses blessures, ses mystères et ses drames, que cette femme qui a brillé absolument, qui a aimé passionnément, qui a souffert terriblement, nous bouleverse en s’avouant, l’âme à nu.