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Depuis quelques années, on a dit de l’identité québécoise qu’elle s’est métamorphosée, qu’elle n’est plus héritière du parcours historique de la majorité francophone. Partout résonne un discours plaidant, au nom du multiculturalisme et d’une ouverture à l’autre, pour le dépassement de la mémoire nationale comme espace de rassemblement de la société québécoise.
Pourtant, de nombreux indices, dont la controverse entourant les accommodements raisonnables, laissent croire que les Québécois sont encore attachés à une définition historique et existentielle de leur identité nationale.
Dans La Dénationalisation tranquille, Mathieu Bock-Côté analyse la diffusion d’une mauvaise conscience qui aura convaincu la pensée québécoise de se redéfinir en dehors des raisons fortes qui l’avaient traditionnellement alimentée. À travers l’étude des acteurs politiques et des historiens qui ont contribué à forger la culture politique postréférendaire, en particulier Jocelyn Létourneau et Gérard Bouchard, il cherche à voir comment cette tentative de transformation de l’identité nationale aura été menée et comment elle se sera soldée, selon lui, par un échec.
Cette étude en forme d’essai permettra de mieux comprendre la culture politique postréférendaire, tout en ouvrant la réflexion sur une reconstruction de la conscience collective qui permettra au Québec de retrouver le sens de sa continuité nationale.