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Bernanos aimait à dire que la plupart des hommes ne savent plus se servir de leur âme. Et ils sont moins nombreux encore ceux qui se soucient de l’âme de leurs semblables, de leur histoire d’amour ou de colère avec Dieu (quel que soit le nom propre qu’ils Lui donnent). Ceux à qui a été accordée cette lucidité communient à la joie du Créateur ; mais ils ne peuvent manquer, non plus, de se déchirer à toutes les violences qui, chaque jour, crucifient le Christ. Cette « croix des âmes » est celle de Federico, un garçon qui a décidé d’être prêtre, dans un pays d’Amérique latine imaginaire, en proie à la dictature. Le récit l’accompagne, depuis son ordination, tout au long de ses premières années de ministère. Au cours de son chemin de croix – chemin de joie, chaque rencontre devient prophétie, épisode d’une histoire sainte. Chaque jour, autour de lui, c’est Noël, l’agonie de Gesthsémani ou le petit matin de la Résurrection. Mais dans un pays de dictature totalitaire, la passion des âmes et la liberté de l’Évangile peuvent-elles longtemps échapper aux mailles du filet tendu par la haine et l’intolérance érigées en art de vivre ?