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"L'homme marchait devant. Nous suivîmes une allée d'arbres dont le tronc était énorme. Une fois encore, je me mis à penser à la mort à cause de cette pesante obscurité que nous traversions. Je me dis que la mort n'était pas ce qui est fini mais que la mort était peut-être un endroit. Chaque famille, et sans doute chacun de nous, rencontrions par destin le lieu où était la mort. La mort n'était pas un paysage mais un emplacement dans un paysage. Depuis que nous avions franchi la grille verte, je sentais que nous entrions dans un lieu de mort. Je ne savais encore si c'était le lieu de la mienne, mais à coup sûr c'était le lieu de la mort de la famille de Bérangère. Et Bérangère qui nous accompagnait dans son cercueil me semblait moins morte que cet endroit qui la recevait. Je ne pensais pas à la chapelle. Je pensais à ce parc qui nous entourait et à cette humidité obscure où se dissimulaient les ruines du château. Cela me fit une très forte impression qui m'aida à oublier le personnage qui nous conduisait." Bruno Gay-Lussac