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L’éditeur a longtemps hésité sur le choix d’un titre pour cet ouvrage. Il aurait pu l’intituler “Histoire de la Ve République”, mais une confusion aurait pu naître alors, car, ainsi que l’explique fort justement M. André Maroselli dans sa préface, il s’agit tout autant d’une histoire des hommes et des partis, en face de la Ve République, que d’une histoire du régime gaulliste lui-même. La Ve République de Jean-André Faucher est, tout à la fois, un travail d’histoire et un travail de journaliste. On se rappellera sans peine, en ouvrant ce livre, que son auteur, s’il demeure l’un des meilleurs historiens de la Commune de Paris, est aussi un chroniqueur politique qui, depuis vingt ans déjà, tient sa place dans la presse d’opinion la plus vivante. Pour comprendre ici quels sentiments ont animé l’auteur lorsqu’il a écrit cet ouvrage, il n’est pas inutile de rappeler que, dès le 9 septembre 1958, il expliquait dans un livre intitulé “L’agonie d’un régime” : vers quel régime allons-nous ? Les parlementaires seront des irresponsables. Les ministres seront des fonctionnaires... Il y a de Gaulle, certes, mais il y a aussi tous ceux, dont François Nourissier nous affirme qu’ils ont emprunté le gaullisme comme un autobus à destination du pouvoir.