Aventurière, espionne, Athelstane Orlof est l'archétype
de la femme fatale, tout à la fois madone et ange de perdition,
une de ces dévoreuses d'hommes qui enchantent les romans
de Pierre Benoit. Égérie des cercles mondains du Beyrouth
cosmopolite des années 20, l'énigmatique Anglaise, veuve
d'un diplomate russe, collectionne les amants et multiplie
les complots politiques, comme, un siècle plus tôt, la
célèbre Lady Stanhope. Pris aux sortilèges de cette nouvelle
«châtelaine du Liban», le capitaine Domèvre sacrifiera
sa fiancée, sa fortune et surtout son honneur à celle qui
est tout «ce par quoi la vie d'un homme vaut la peine d'être
vécue, tout simplement».
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