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Quand, le 3 mars 1875, Carmen fut joué pour la première fois à Paris, le personnage scandalisa. Celle qui allait lui donner ses lettres de noblesse, Emma Calvé, était une petite paysanne de l'Aveyron qui, à dix-sept ans, n'avait que sa beauté, sa volonté, une sensualité de gitane et, surtout, une voix exceptionnelle. Sans le savoir, Emma Calvé était déjà une cantatrice. Elle était Carmen. Une passionnée, à qui la reine Victoria offrit son amitié. Une ensorcelleuse, qui se lia avec les occultistes, les mages et les mystiques. Une femme enfin, dont les choix amoureux défièrent la morale de son temps : Henri Caïn, le juif ; Jules Bois, le sataniste ; Bérenger Saunière, le prêtre ; Higgins, le milliardaire aveugle et Galileo Gaspari, le dépravé. Toute sa vie, Emma Calvé la voua corps et âme à l'opéra. En quête d'absolu, jusqu'à ses derniers instants, elle chercha sa voie avec un enthousiasme qui brûla ceux qui la côtoyèrent... Carmen encore, Carmen toujours.