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La Blonde Platine, c’était, dans les années cinquante, Mia Dorée, la star adulée des grands films d’Hollywood qui, un jour, disparut sans que l’on sache si elle s’était suicidée ou si elle avait fui le cinéma. La Blonde Platine, c’est, aujourd’hui, le film que veut tourner la Continental sur cette vedette mythique et, pour ce faire, elle demande à Charles Leroy d’en écrire le scénario. La Blonde Platine a été le grand amour de Charles Leroy lorsque, jeune Français installé à Hollywood, il a voulu se lancer lui-même dans le cinéma, avant de comprendre qu’il avait plus de talent comme astrologue et comme médium que comme acteur. Et s’il accepte finalement cette proposition, c’est à la fois pour rendre hommage à Mia Dorée, pour tenter de résoudre le mystère de sa disparition et – de menaces en révélations, d’enquêtes en crime – pour apprendre quelle était la vraie femme si bien dissimulée sous la flamboyance des projecteurs. Pour son premier roman, Michaël Delmar nous entraîne – et avec quelle passion ! – dans les deux univers qu’il connaît le mieux : le cinéma avec ces vedettes que l’on appelle des stars parce qu’elles scintillent dans notre imaginaire ; et le monde de l’astrologie, très souvent associé au précédent car lui aussi permet d’appréhender une dimension plus vaste.