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Durant six semaines, de la mi-décembre 1944 à la fin de janvier 1945, les Ardennes belges et luxembourgeoises sont le théâtre de combats furieux, dans la neige, la glace, le brouillard et le froid, mettant aux prises les combattants allemands et alliés. Elles sont alors le lieu de hauts faits individuels et collectifs : résistances héroïques dans des villages et des villes en flammes, arrivée providentielle de renforts à Bastogne, chevauchée des chars de Patton et d’Abrams, contre-attaque grand style de la 2e division blindée de Harmon, retraite allemande assez étonnante d’efficacité malgré l’épuisement et le moral en chute libre. Le lieu, aussi, de terribles massacres à Baugnez, à Stavelot, à Bande et ailleurs.
Le 16 décembre 1944 à l’aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, en un dernier coup de dés, Hitler lance trois armées sur les Ardennes belges et le Nord du Luxembourg. Les objectifs de l’opération « Wacht am Rhein » sont clairs : foncer vers l’ouest et franchir la Meuse, s’emparer du port d’Anvers et avancer jusqu’à Bruxelles. Alors, espèrent les nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-Saxons. En dépit du déséquilibre des forces initialement engagées, les soldats américains, par leur résistance acharnée voire désespérée, parviennent peu à peu à repousser les Allemands.
Le 31 janvier 1945, ces derniers sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu près de 100 000 hommes et un millier de blindés ainsi que plusieurs centaines d’avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.
Véritable épopée, la bataille des Ardennes a été la plus coûteuse de celles livrées par l’armée américaine en Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale.