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Le témoignage coup de poing d'un ministre hors norme : premier avocat pénaliste à devenir garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti se livre sans concession sur ses quatre années passées place Vendôme. 4 ans, 2 mois et 17 jours : c'est le temps qu'a passé Éric Dupond-Moretti place Vendôme, un record sous la présidence d'Emmanuel Macron. Entre confidences exclusives et décryptage du milieu politique, l'ex-garde des Sceaux raconte les coulisses d'un monde feutré qu'il a voulu bousculer au nom de ses convictions. Sa relation avec Gérald Darmanin – qui lui succède place Vendôme –, le couple présidentiel, sa relaxe par la Cour de justice de la République, l'ancien avocat joue cartes sur table. Il revient aussi sur sa bataille pour faire évoluer une institution corporatiste, ses grandes réformes – inscription de l'IVG dans la Constitution, renforcement de la justice pénale –, ainsi que sur les affaires marquantes de son mandat, comme l'évasion sanglante du détenu Mohamed Amra. Il interroge le statut d'héroïne de Gisèle Pelicot et dénonce une exploitation des faits divers toujours plus grande, qui pousse la justice à céder au diktat de l'émotion. Enfin, avec son franc-parler, il alerte sur la montée des extrêmes, contre lesquels il s'est toujours battu. Poussé par l'exigence sans faille de Marc-Olivier Fogiel, il se dévoile sans filtre, avec la sincérité d'un homme que rien ne prédestinait à devenir ministre et qui a fait le choix de la politique sans jamais devenir politicien professionnel.