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Le 18 septembre 1970, Jimi Hendrix est retrouvé sans vie dans la chambre 507 de l’hôtel Samarkand, à Londres. L’icône du rock, acteur déchu d’un mystère chrétien psychédélique, gît dans son vomi.
Une femme et une guitare flanquent le gisant de ce roi sous acide. Il avait 27 ans.
Retour en arrière. La seconde moitié du XXè siècle vit l’éclosion d’une religion nouvelle : le rock. Son pape était noir et semait de miracles électriques les festivals de musique, de Woodstock à Wight. Jimi Hendrix s’est brûlé à tous les clichés du rock ; avant de mourir dans l’enfance de son art, il avait pourtant mené l’Experience très loin. Si, aujourd’hui, les idoles des jeunes changent leur sang dans des cliniques et placent leur capital dans des banques, avec Hendrix, c’est une autre histoire. Sa déchéance est plus propre que ces succès capitalisés. Elle a la rectitude d’un mythe.
Dans cette ode hallucinée, Frédéric Martinez donne la parole à Jimi Hendrix et nous entraîne, au fil de pages traversées de coups de feu et de coups de blues, dans une plongée en apnée pour remonter aux sources du rythme.