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Un homme, qui ressemble à Vassilis Alexakis, s’adresse à une personne qu’il connaît bien, une femme qui lui manque et à laquelle il a besoin de se raconter. Il lui plaît de délivrer à cette destinataire des nouvelles du monde aussi bien que des nouvelles plus intimes, qui le concernent, lui et sa famille, lui et ses amours, lui et ses enfants. On découvre peu à peu que les événements rapportés ont eu lieu ces dix dernières années. C’est donc l’histoire d’un homme qui raconte à une absente tout ce qui s’est produit d’important à ses yeux depuis une décennie. Il lui parle très doucement, comme si elle l’entendait vraiment, il croit parfois la distinguer et la croiser sur son passage. Page après page, on devine qu’Alexakis s’adresse à sa mère, qu’il a bel et bien perdue. Voilà l’événement le plus sérieux de sa vie. Il n’y avait aucune raison d’interrompre la conversation, même quand les nouvelles à délivrer ne sont pas si bonnes. Comment révéler à sa mère disparue que son mari, le père du narrateur, est mort à son tour ? C’est le dernier aveu de ce livre, le dernier secret, mais, comme toujours chez Alexakis, il n’y a guère de place pour la complaisance. Ce nouveau roman, qui rassemble tous les thèmes chers à l’auteur de La Langue maternelle et des Mots étrangers, est aussi rieur que tragique. Pourquoi pas universel ?