Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Dédié au président Carter et au cardinal Marty, ce livre constitue le J’accuse ! de Jacques Isorni. L’accusé, c’est l’imposture qu’il voit « à tous les créneaux » de notre temps. Pour le défenseur de Philippe Pétain, la plus grande est la condamnation du Maréchal exigée et organisée à l’aide de faux par de Gaulle, à seule fin de se « légitimer », ce que Jacques Isorni appelle le « mensonge d’État » de cette nouvelle affaire Dreyfus plus grave que la précédente. Prisonnier de sa position, de Gaulle appelle Thorez et poursuit Pétain. Isorni dénonce également les ministres de la Justice qu’il appelle « faussaires de la loi » qui s’opposent contre la loi à toute révision. Et d’autres impostures encore : les sanglantes violences de l’épuration, le mensonge de l’exécution de Brasillach, la violation des Droits de l’Homme au nom des droits de l’homme, l’implacable « justice » gaullienne contre les défenseurs de l’Algérie française. Puis passant de l’article 11 du Code de Procédure pénale sur le secret de l’Instruction aux crimes de guerre et à l’imposture de certaines représentations de Bayreuth, il termine par le Crépuscule des Dieux. Pour l’auteur, de Gaulle n’est-il qu’un faux dieu, entré déjà dans le crépuscule qui précède la nuit ? On n’écrira pas la véridique histoire de ce temps, sans se reporter à cet ouvrage que Jacques Isorni a écrit avec passion.