Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Vivant à Paris au cœur de la culture, je me croyais, plus ou moins, mais à peu près, informée de tout… Il y a trois ans, avant que ne s’en trouve bouleversée ma vision du monde, je ne savais rien de ce que, avec ce texte mi-confidence, mi-harangue, je suis résolue à ébruiter. Jamais les bébés, les tyrans, les voyeurs, les artistes, les assassins, les amoureux - ces types humains si impénétrables parfois - ne m’étaient apparus, dans leur souffrance toute animale, aussi proches… Par la chair, et la chair seulement, je frémis en le racontant, ils apparaissent soudain comme éclairés de l’intérieur… De la belle histoire, qui a la perversité de n’être pas un roman. De la littérature comme je l’entends, avec ce que cela peut avoir, non pas d’immoral, mais d’amoral et d’iconoclaste. Il n’y a pas une façon douce de dire à quelqu’un qu’on ne l’aime plus. Il n’y a pas une façon douce de divulguer les secrets d’un art qui concerne le grand public au plus intime, et au plus personnel. R.B.