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Juin 1962. L’Algérie française vit ses derniers instants dans une violence crépusculaire. L’OAS, qui pratique la politique de la terre brûlée, menace de déverser une énorme citerne d’essence sur Alger et de dynamiter tous les égouts de la ville. Les responsables du FLN se préparent à lancer un millier d’hommes sur les quartiers européens. Pour tenter d’empêcher les massacres annoncés, Jacques Chevallier, l’ancien maire, apparaît aux yeux de tous comme le recours ultime, le seul homme à pouvoir encore réunir tout le monde autour d’une table. Il réussira à faire taire les armes et à empêcher le pire : Alger ne brûlera pas. Jacques Chevallier a onze ans en 1922 lorsqu’il débarque à Alger avec ses parents. De retour en Algérie après guerre, il comprend dès 1952 que la politique coloniale n’a plus de raison d’être et prône un dialogue entre les différentes communautés d’Algérie. Ministre de Pierre Mendès France au moment où commence la guerre d’Algérie, il devient la cible des extrémistes, qui lui reprochent de vouloir négocier avec les indépendantistes. Il ne sera pas entendu. Les militaires l’éjecteront de sa mairie en mai 1958. Au-delà du récit détaillé des journées haletantes de juin 1962, racontées pour la première fois, José-Alain Fralon retrace, à partir d’archives inédites et d’entretiens avec certains des acteurs encore vivants de ce drame, l’histoire romanesque et exemplaire d’un homme qui, si on l’avait écouté, aurait pu éviter la guerre d’Algérie.