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Un vieil atrabilaire occupe un étrange manoir au sommet d'une falaise dunaire. Isla Negra. Tel est le nom du refuge de Jonas. Lorsque les pouvoirs publics tentent de l'expulser, la maison se transforme en camp retranché. En ville, chacun prend parti, et l'on voit s'affronter une centenaire qui tenait autrefois le plus grand bordel de la région, une beauté factice qui ne reconnaît plus son reflet dans le miroir, un huissier qui se révèle poète, un promoteur véreux et envieux. Et la foule des habitants, curieux, médisants, souvent lâches. À mesure que la falaise s'effondre, les masques tombent. Jonas, lui, ne lâche rien. Et chaque matin, il braque sa longuevue sur l'horizon, car de là seul peut encore surgir l'espoir. Fable écologiste, Isla Negra porte la voix des irréductibles qui refusent de céder au consumérisme et dénonce la facilité qui nous incite à détourner le regard. À travers cette allégorie, Jean-Paul Delfino brosse aussi le portrait savoureux de ces cabossés de la vie qu'il croque comme personne.