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Empires aztèques et chinois, cités grecques, royaumes africains et sociétés maghrébines, nombre de cultures réglementaient leur "marché", donc le protégeaient. La pleine liberté économique n’apparaît non sans heurt qu’au XIXe siècle au sein de l’Occident. Pourtant la science économique ne connaît pas le concept d’économie protégée ni de marché protégé : les économistes préfèrent recourir à un concept plus froid, le protectionnisme vu comme la "politique des États qui vise à limiter le volume des importations". Pour remédier à cette cécité historique, Ali Laïdi offre la première histoire non pas des idées économiques mais bien des faits. À travers l’étude des produits "protégés" au sein des civilisations aussi bien antiques que modernes – blé, riz, café, textile, métaux, pétrole, automobiles et jusqu’aux "services" les plus récents – l’auteur montre comment et pourquoi les hommes protègent leurs moyens de subsistance. C’est donc à une nouvelle lecture particulièrement féconde du protectionnisme, d’une criante actualité, que le lecteur est convié.