Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Génie fulgurant, écorché vif et mort prématurément : tout est réuni pour faire de Georg Trakl, poète expressionniste majeur, une figure aussi mythique que brûlante. Les dettes de Trakl vont d’abord à Rimbaud et à Hölderlin, pour leur poésie hantée et flamboyante. Sa poésie est habitée de visions désespérées, obsédée par le sentiment de la faute et de la déchéance. Mais la fulgurance de ses mots traverse sans encombres les ténèbres qui habitent le poète pour nous parvenir dans toute son évidence poétique. En 1978, Philippe Jaccottet fit paraître en 1978 un recueil des poèmes de Trakl traduits par Gustave Roud. La présente édition y ajoute des traductions inédites ainsi que des extraits de lettres de Rainer Maria Rilke, fervent défenseur de Trakl.
Georg Trakl est né en 1887 à Salzbourg. Mobilisé en août 1914, il part en Galicie dans une colonne sanitaire. Marqué par la consommation de drogue et une relation incestueuse avec sa sœur Margarete, il sera également profondément atteint par l’horreur de son expérience sur le front. Il fait une tentative de suicide qui l’envoie à l’hôpital à Cracovie en observation psychiatrique. Il se suicide probablement dans sa cellule le 3 novembre 1914 d’un empoisonnement par cocaïne, à l’âge de 27 ans.