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Favori de Jacques 1er et de Charles 1er au point d'avoir été nommé "le dictateur non seulement de l'Angleterre, mais du souverain", amoureux jusqu'à la folie et aimé d'Anne d'Autriche, Premier ministre, grand amiral, général en chef, ambassadeur, mécène, plus magnifique qu'aucun prince de son époque, George Villiers, duc de Buckingham, offre l'exemple à peu près unique d'un homme qui disposa, avant vingt-cinq ans, d'un pouvoir absolu, sans y avoir d'autres titres que ses dons de séducteur. La manière dont il en usa voua à sa perte la dynastie des Stuart, affola le peuple britannique, bouleversa la politique européenne, provoqua deux guerres et ouvrit une révolution. De son vivant même, Buckingham devint légendaire. À la fois adoré et exécré, il fut comparé aux archanges avant d'être identifié à l'Antéchrist. Assassiné par un fanatique dont l'Angleterre fit un héros, il fut pleuré jusqu'à leur mort par un roi et une reine. La plupart des historiens lui donnèrent le visage d'un traître, d'un apostat, d'un fléau de sa patrie et de la liberté, tandis que les romanciers et les poètes l'égalaient aux amants immortels. La vérité, évidemment, n'a rien à voir avec ces imaginations, mais n'en est pas moins proche du merveilleux. Avec toute la rigueur d'un historien et toute la pénétration d'un romancier, Philippe Erlanger nous conte la véritable histoire de ce favori dont la beauté, les passions, l'extravagance pesèrent d'un si grand poids sur le destin de l'Angleterre et sur l'évolution politique de son temps.