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Construire des mondes de toutes pièces, rêver des utopies, dessiner la carte d’une île inexistante, autant de démarches qui semblent inhérentes à la notion même d’activité fictionnelle, et sont par conséquent presque aussi vieilles que celle-ci. L’Ailleurs prend en littérature des aspects extrêmement multiformes, dans la mesure même où il est l’occasion pour l’imagination créatrice de se donner libre cours. Ce rêve démiurgique traverse toutes les époques et tous les genres. C’est peut-être toutefois au XXe siècle que planètes, royaumes et territoires inventés se mettent véritablement à proliférer. A travers l’étude de quatre œuvres pour l’essentiel, et de quelques autres, il s’agit donc dans Géographies imaginaires de contribuer à un défrichage, de s’interroger sur la spécificité du paysage imaginaire, sur la création linguistique, de proposer une typologie. Mais la variété des textes abordés n’empêche pas la recherche d’une identité profonde. Dans une, géographie imaginaire, affirmation du pouvoir créateur, on peut aussi voir une interrogation sur ce dernier, une image des tensions qui le travaillent, et en particulier de la quête du centre dérobé autour duquel gravite l’écriture moderne.