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Qui n'a pas entendu dire qu'il était « dangereux » pour une femme de sortir seule le soir ? Si tout le monde semble s'accorder sur une telle réalité, les moyens à mettre en œuvre pour éviter ce genre de « dangers » n'en sont pas moins considérés comme relevant d'une simple question de « bon sens ». À l’heure où la question de la sécurité occupe le devant de la scène, celle des femmes est en effet largement ignorée des médias et rarement prise en compte par les pouvoirs publics : à elles de prendre leurs précautions. À l’aide d’une approche originale qui confronte les politiques de sécurité aux pratiques et représentations quotidiennes, ce livre souligne les difficultés des politiques publiques à prendre en considération les inégalités entre les sexes. L’étude de la mise en œuvre de contrats locaux de sécurité, à Paris et à Guyancourt, révèle en effet les multiples résistances qu’une telle thématique suscite. Marylène Lieber met en évidence la prégnance de discriminations présentées comme allant de soi, dans un contexte d’égalitarisme entre hommes et femmes qui n’est que formel. Elle donne également à voir une forme de violences à l’encontre des femmes trop rarement appréhendée, celles se déroulant au cœur des espaces publics.