Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Janus avait deux visages ; Franco, lui, en affichait bien une centaine. « Paquito » pour les intimes, « Miss Canarias » pour ses compagnons d’armes en 1936, « Generalísimo », « Caudillo » ou « Son Excellence » au faîte de son pouvoir. Jusqu’à « El Abuelo » – le grand-père – dans les années 1960. Autant de surnoms, autant de figures, pour un seul homme.
Mais qui était vraiment Franco derrière ces différents masques ? Stéphane Michonneau retrace l’implacable construction d’une légende, savamment orchestrée par le dictateur lui-même, puis remodelée par les générations successives. Du héros autoproclamé au fantôme embarrassant, chaque époque a réinventé « son » Franco, en fonction de ses peurs, de ses oublis ou de ses besoins. Entre culte officiel, mémoire républicaine, silences familiaux et falsifications assumées, Franco a survécu à sa propre mort, infiltrant les esprits et les paysages. Reste l’énigme d’un homme, et, plus encore, celle d’un pays tout entier. Inquiète, divisée, l’Espagne d’aujourd’hui continue de porter l’empreinte du Caudillo. Ce livre en explore les traces. Il invite à regarder Franco non plus comme une ombre du passé, mais comme une présence persistante qui continue d’agiter les débats et de fracturer le présent.