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Voici peu de temps, les Scouts de France lançaient à travers le pays les « Patrouilles Libres », ces patrouilles à foulard noir qui devaient apporter aux jeunes des bourgs et des campagnes la joie de la grande fraternité scoute, le dynamisme de la vie vécue coude à coude dans un idéal commun. C’est l’histoire de la patrouille de l’Albatros que nous conte dans ce volume Jean-Marie Dooz. Une patrouille de petits campagnards, qui, s’ils n’ont pas inventé la poudre, savent du moins que c’est fait. À sa tête, un extraordinaire C.P. : Yves-Marie, aux grands yeux étonnés, à l’énergie indomptable, qui entraîne ses sept gars vers les grandes aventures. Mais l’aventure qui n’était pas prévue au programme de la pat, c’est celle de la maladie du jeune C.P., qui devra faire face, non à des espions ou à des contrebandiers, mais à une maladie, douloureuse, brutale, lui retirant d’un coup tout ce qui, jusqu’alors, a rempli sa vie : son ami, sa patrouille. Un type de garçon émerveillé, honnête jusqu’à l’absurde, et dont le cœur immense devrait gagner la terrible partie qui s’impose à lui. La vie de tous les jours dans un coin perdu de Sologne, la dure bataille du garçon en qui les siens ont cru et qui ne peut les décevoir, en font un livre tout empli de fraîcheur, d’une étrange simplicité, qui touche et laisse songeur quand on l’a refermé, tant à cause de sa claire spiritualité que de son absence d’apprêt. "Foulard noir", le roman d’une patrouille libre, écrit par un débutant qui se révèle déjà un maître.