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Fontamara, premier roman d’Ignazio Silone paru en 1933, traduit chez Grasset en 1949 (nouvelle édition d’après le texte italien définitif en 1981), a été un succès mondial, sauf dans l’Italie fasciste où il a été interdit, n’y étant publié qu’après la guerre. Dans les années 1920, alors que l’Italie est dirigée par Benito Mussolini, le ruisseau du pauvre village de Fontamara, dans les Abruzzes, est détourné sur ordre des autorités. Or, ce cours d’eau est la seule ressource des villageois pour cultiver leurs terres. La population s’inquiète, une délégation de femmes va à la rencontre maire pour se plaindre. De maire il n’y a plus ; la ville est désormais dirigée par un grand bourgeois cynique et tyrannique. Les habitants, menés par le valeureux Berardo, se révoltent contre l’injustice ; ils ne pèsent rien face à l’alliance de la police, des propriétaires terriens et de l’Église. La rébellion est réprimée de façon sanglante. Qu’adviendra-t-il de leur meneur, Berardo ? Conte tragique sur la barbarie, Fontamara est aussi une des premières fictions antifascistes d’Italie, ce livre qui a été un succès mondial se lit aujourd’hui avec frayeur. Qu’est-ce qu’un régime dit « illibéral » et quelles sont ses méthodes d’intimidation puis de violence au quotidien, on ne le voit pas mieux que dans ce grand roman.