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Il y a un siècle naissait l’écrivaine Marguerite Duras. L’écrivaine ? Ne devrait-on pas plutôt dire l’artiste pour intégrer son travail de cinéaste ? Disons qu’elle est une voix, tant celle-ci marque par sa singularité, au-delà de la forme de ses œuvres. On a beaucoup écrit sur Duras, son histoire et ses histoires. On a beaucoup cherché à comprendre sa vie et ses œuvres, mais ses films ont souvent été considérés comme un reliquat des textes. Cet ouvrage prend le cinéma de Marguerite Duras comme il est : riche, au-delà des genres, des techniques, du cinéma même. Notre premier geste a été de donner la parole à des auteurs qui, simplement, naïvement, aiment son cinéma, et sont impressionnés par lui. Aussi, différents tons et différentes générations se croisent : certains évoquent la violence politique des premiers films de Duras ou cherchent les marques de ses obsessions intimes, d’autres investissent ses décors et ses personnages. Mais tous se passionnent pour le naturel rare et radical avec lequel Duras, alors écrivaine reconnue, s’empare du cinéma. Pourquoi Détruire dit-elle est-il un film d’horreur ? Comment Luc Moullet devint-il le producteur de Nathalie Granger ? De l’Inde à Neauphle-le-Château, quels sont les lieux d’India Song ? Que faire pendant le Festival de Cannes? Filmer est-il un luxe? Et monter? Comment tuer le cinéma? Pourquoi le vide est-il un programme révolutionnaire ?Des textes d’analyse sont accompagnés d’entretiens avec Duras elle-même et certains de ses collaborateurs. Son personnage, éminemment romanesque, relie ainsi des temporalités différentes pour appréhender une œuvre qui, elle, y a toujours échappé.