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Quel savoir nous apporte l'œuvre littéraire sur la figure de l'individualité et sur son histoire, en une époque donnée ? Question massive et redoutable, qui ne requiert pas d'abord généralisations et théorisations hâtives, mais des réponses aussi circonstanciées que possible sur des œuvres particulières, et aussi sur le destin (la réception) d'une œuvre dans son ensemble, ici celle de Rousseau. Dans les deux cas, il s'agit de faire émerger les raisons profondes pour lesquelles les fables de la personne que sont romans, autobiographies ou même fictions théoriques ont cours, comme on dit qu'une monnaie a cours, mais par référence à des niveaux de valeur multiples et complexes. À l'articulation du privé et du public, on voit se dessiner les fragments d'une histoire du sujet et de son statut, dans son rapport avec un réel que l'œuvre ne reflète pas mais qu'elle constitue à chaque fois par un travail propre comme horizon essentiel. C'est ici que le savoir littéraire dont il est question, apparaît dans sa spécificité par rapport à ce que peut mettre en scène le discours philosophique.