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Ito Baraka va mourir. À Hull, loin du soleil, dans l’obscurité humide de ce minable appartement qu’il partage avec sa compagne, Kimi, autochtone et junkie.
Mais, avant de mourir, il a ce livre à finir. Ce roman où il raconte des événements qui se déroulent dans un pays où le soleil brûle, brûle la peau, brûle le cerveau, brûle la rétine de ceux qu’on oblige à le regarder sans ciller. Dans un pays où brille également un autre soleil, celui d’un dictateur en proie à la peur.
Et quand un dictateur a peur, il ratisse large. D’abord, il y a ces jeunes, à l’université, qui affichent leur liberté en montant Beckett. Ensuite, il y a les vieux, qui sont, on le sait bien, devins, mages, charlatans et surtout ensorceleurs. La magie n’est-elle pas la plus dangereuse forme de sédition ?
C’est ainsi que Ito, dans sa cellule, fera la connaissance de Koli Lem, l’aveugle qui ne se sépare jamais de ses livres. Au milieu de la nuit la plus noire, dans les paroles échangées, dans leur chair, ils seront l’un pour l’autre l’unique lumière.