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Qu’est-ce que tu dis ? Je dis que c’est casse-pieds cette coutume du petit baratin de 20 lignes à la fin du bouquin. On est tout content d’avoir mis le point final, à peine le temps de faire ouf et il faut encore se taper ce résumé. C’est l’auteur qui procède lui-même à son propre éloge ? Souvent. Il ne manque pas d’air, non ? Bof… À quoi ça sert cette espèce de résumé ? À résumer, je te dis, comme à l’école. Voici en quelques mots succincts ce qu’a voulu dire l’auteur. Ça sert à quoi ? À attirer le lecteur. À lui montrer un terrain d’entente possible. À éveiller son intérêt. À lui faire acheter le machin imprimé, la marchandise livre. Bon, alors, vas-y, résumé. Voici donc, en quelques mots succincts, ce que vous avez voulu à dire, Monsieur l’auteur du machin imprimé. Eh bien, Erro est un des grands peintres du XXe siècle. Et pourquoi ? Parce que… on ne peut pas explique comme ça, avec des comment, modes d’emploi, phrases définitives… Il faudrait lire le livre. Gros malin, c’est justement pour ceux qui ne l’ont pas lu qu’on fait cette note en dos de couverture. Je sais, je sais. D’Erro, comme beaucoup d’artistes d’aujourd’hui utilise les documents des mass-médias (journaux, magazines, cinéma, télé…). Mais il est un des très rares à ne pas succomber à la tentation morbide du cliché, vie figée, arrêtée, coupée, la société du spectacle comme on dit. Et pourquoi ? Justement parce que c’est un grand peintre. Ses tableaux débordent de vie, de force, de mouvement. Il peint des quantités énormes de toiles à partir des photos du monde entier. Et, à travers cette masse infinie des informations, il retrouve. Il peint des naturels, fondamentaux, biologiques, ces pulsations physiques qui… Et pourquoi ? Ben, parce que… Oh ! et puis ça suffit avec tes questions. C’est pas toujours à coups de questions qu’on obtient les bonnes réponses. Et pourquoi… Non, franchement. Ne faisons pas ce que ce livre refuse. Ce n’est pas une série d’analyses théoriques. C’est une espèce d’équivalence. C’est un roman-photo. ça parle de l’in-résumable, de l’in-coupable mass-média, masses tocs, massages de messages, etc.