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Les stéréotypes sur le sombre Moyen Âge ont la vie dure. Parmi ceux-ci, la place des enfants, que l’on imagine encore peu aimés et exploités, travaillant durement à un âge très précoce aux côtés des adultes. Rien, pourtant, n’est plus faux que cette vision misérabiliste.
Didier Lett, spécialiste et précurseur de ce champ historique, nous montre la vive attention à l’enfance dès le ventre maternel. Il s’intéresse à la naissance, au baptême, aux premiers soins apportés au nourrisson et aux relations que l’enfant entretient avec ceux qui vivent avec lui : père, mère, frères et soeurs... Plus de doute possible : la société médiévale a bien connu un fort « sentiment de l’enfance », manifestant une profonde affection à l’égard des plus petits et développant une riche réflexion sur l’éducation mais avec des différences en fonction du sexe, de l’âge, de la place dans la fratrie et du milieu social. L’auteur s’attarde aussi sur les malheurs de l’enfance dus aux pestes ou aux famines, à des accidents ou à des handicaps et parfois à la violence des adultes, des animaux ou d’autres enfants.
En s’appuyant sur de profonds renouvellements historiographiques, Didier Lett propose une riche synthèse, totalement inédite, centrée sur les quatre derniers siècles du Moyen Âge, qui nous conduit à réfléchir à la longue histoire de l’enfance en Occident.