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À travers de très courts chapitres qui sont autant de briques emboîtées les unes dans les autres, l’auteure embarque les lecteurs dans une réflexion ponctuée de questions qui donnent à son essai des allures d'enquête. Après avoir indiqué l’impasse écologique, politique et existentielle dans laquelle la « logique d’ingénieur » (calculante, instrumentaliste et planificatrice) semble nous conduire collectivement, elle explore la richesse d’une voie alternative : celle du « bricolage ». Faisant dialoguer les grands philosophes de la modernité – Spinoza, Kant – avec les penseurs de l’après-guerre – Hannah Arendt, Walter Benjamin, Claude Lévi-Strauss, Michel de Certeau, André Gorz – aussi bien que ceux de notre temps – Byung Chul Han, Timothy Morton –, elle dévoile peu à peu les facettes d’un mode de penser et d’agir qui promeut aussi bien la pratique de la collection ou du recyclage que des tactiques subversives permettant de détourner les ordres et les appareils dominants. Replongeant le « monde » dans la « nature » et faisant l’hypothèse d’une continuité entre le souci pour les choses et le soin des vivants, elle invite chacun, par la préoccupation pratique qu’il pourrait témoigner aux autres, à « être pris » autant qu’à « prendre en charge » ce qui l’entoure.