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La crise économique de 2008 a révélé la difficulté de nos élites à gérer de semblables bouleversements et à faire accepter des réformes nécessaires, mais impopulaires. Étudier les réactions des élites face aux crises – prévention, réaction, raidissement, intériorisation et adaptation – interroge leur capacité à percevoir la gravité de la crise, leur rapport à la modernité et, plus globalement, leur aptitude à réformer pour prévenir les explosions sociales et donc à se maintenir au pouvoir. Cet ouvrage, qui fait suite au colloque organisé par le Centre d’études des mondes modernes et contemporain de Bordeaux, réunit vingt-huit chercheurs. Inscrit dans un temps long (de l’époque moderne jusqu’à nos jours) et dans un cadre transnational, leur propos s’appuie sur une double identification : celle des élites – mouvantes et diverses – et celle des crises – un événement brutal et inattendu, un moment de retournement ou un lent processus de dégradation d’une situation donnée. L’étude des sorties de crise, plus ou moins réussies, permet de répondre à la question de la permanence ou du renouvellement des élites. Se dégage alors l’importance du phénomène de l’expertise et des cercles d’influence avec le rôle des ingénieurs, des intellectuels, des hauts fonctionnaires ou encore « des conseillers du prince ».