Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Dans Écritures, miroir des hommes et des sociétés, l’auteur attirait l’attention sur l’écriture comme image de l’homme à travers son histoire. Dans ce second essai, qui lui est complémentaire, il s’interroge sur le processus de création d’une écriture aujourd’hui.
De la pensée à la parole et à l’écriture, le chemin est long et cahoteux. Au début, apanage du pouvoir et instrument de gouvernement, l’écriture, en se répandant, est devenue le support idéal de partage des connaissances et du savoir. L’invention de l’alphabet par les peuples nomades du Moyen-Orient était le premier acte d’un humanisme méditerranéen.
Aux époques classiques, chaque culture avait « son » écriture qui reflétait son image. Aujourd’hui, due à la « vulgarisation » des techniques informatiques, une prolifération sans précédent des caractères typographiques inonde le marché mondial. Cela perturbe l’esprit des consommateurs. Dans ce contexte de liberté inconditionnelle non maîtrisée, l’auteur s’interroge sur la « raison de l’écriture » dans sa diversité. Avant de pénétrer dans le labyrinthe du « comment », il s’interroge sur le processus de la création en général, sur le « pourquoi » d’une écriture nouvelle, ainsi que sur le « pourqui », c’est-à-dire sur le regard particulier du lecteur-destinataire.
Pour Ladislas Mandel, l’écriture sous toutes ses formes est éminemment un langage à part entière, création de l’esprit. Aussi, à travers ses interrogations multiples, il tente, en retrouvant les vertus de sa vocation originelle, de redonner la parole à l’écriture.
Dans le dernier chapitre, l’auteur explique les principales caractéristiques formelles pertinentes nécessaires à la création de caractères, en particulier celles qui découlent des déformations optiques.
C’est Anne Zali, conservatrice en chef à la Bibliothèque nationale de France, responsable de l’Action pédagogique, qui a écrit l’avant-propos.