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Malgré une place relativement modeste parmi les agglomérations françaises — avec ses 215 000 habitants, Dijon se situe au 26e rang démographique —, la capitale de la Bourgogne n'en est pas moins la principale concentration urbaine entre Paris et Lyon, les deux plus grandes métropoles du pays. Mais est-elle réellement susceptible de constituer un pôle capable d'animer une grande région et de faire contrepoids, dans une certaine mesure, à l'attraction de ces deux métropoles ? Si les structures économiques de l'agglomération révèlent un certain nombre de faiblesses (absence d'un véritable tissu industriel, sous-qualification de la main-d'œuvre, insuffisance de la recherche), les atouts ne manquent toutefois pas : avantages du cadre géographique, riche héritage historique et culturel, situation au cœur d'un carrefour ferroviaire et routier, volonté des élus locaux de faire reposer le développement de l'agglomération sur ses propres capacités de création. La réalisation de parcs technologiques (l'un à Dijon-Mirande, l'autre à Pouilly), le renforcement du rôle commercial et le développement du tourisme sont les principaux axes autour desquels s'organise l'action économique de l'agglomération et qui devraient lui assurer sa croissance. Jean-Michel CADET, professeur d'Histoire-Géographie à l'Institution Saint-Joseph à Besançon, prépare une thèse à l'Université de Bourgogne, à Dijon, sur « Réalités urbaines et politiques municipales : les modèles bisontin et dijonnais ". Robert CHAPUIS, professeur de géographie à l'Université de Bourgogne, a fait une thèse sur les « Ruraux du Doubs » (1981), a publié « Les ruraux français » (1986) et a collaboré à plusieurs manuels de géographie de l'enseignement secondaire et à des ouvrages sur la Bourgogne. Jean-Bernard CHARRIER, professeur de géographie à l'Université de Bourgogne, a fait une thèse sur le Nivernais (1981), actualisée et résumée en 1988 (« La Nièvre »). Il travaille sur les rapports villes-campagnes et a publié « Citadins et ruraux » (1970) et « Villes et campagnes » (1988). Agnès CHAMEROY, technicien de recherche à la section de géographie, assure le suivi informatique des séminaires et des recherches du Laboratoire de géographie humaine de l'Université de Bourgogne.