Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
L’euthanasie est-elle la seule réponse face à la perte d’autonomie, aux maladies chroniques ou aux handicaps évolutifs ? Au nom du « droit de mourir dans la dignité et dans la liberté », devons-nous aller plus loin que les soins palliatifs ? Ne faudrait-il pas plutôt oeuvrer pour le droit de vivre sa vie jusqu’à son terme en société, et non de mourir de manière anticipée ? Face aux défis posés à la société tout entière par les situations de handicap sévère ou les dépendances liées au grand âge, l’urgence est-elle de légiférer pour faciliter le recours à une forme de suicide médicalement assisté ?
Certes, on meurt mal en France, souvent sans bénéficier d’un environnement favorable à une fin de vie apaisée. Pour autant, la volonté de maîtriser sa mort en sollicitant un médecin pour mettre un terme à une existence estimée « indigne d’être vécue » suscite, à juste titre, des controverses.
Alors que s’achève la Convention citoyenne sur la fin de vie et que le Parlement envisage une évolution de la législation, Emmanuel Hirsch, s’appuyant sur de nombreux témoignages, s’interroge sur notre confrontation à la finitude humaine et argumente en faveur d’une démarche démocratique exigeante en termes de respect et de justice. De véritable dignité.
Un ouvrage salutaire et fondamental pour comprendre les enjeux du débat actuel.