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« C’est ainsi que le jour où Mireille est arrivée à la maison est resté le jour de la homarderie, parc où on élève des homards. Plus tard je suis passée par la droguerie, sûrement, le bébé désolé sous le bras et Flash qui gambadait dans mes jambes et me léchait les mains avec emportement, un peu jaloux. Je me figurais ce parc comme un grand jardin et me disais : « Les homards ont toutes les chances ! » J’ai dû demander à Joseph s’il n’avait pas du lait pour le chien par hasard. Bon. Il m’aurait dit : « Alors c’est ton petit frère ! » et qu’il n’en avait pas chez lui, mais puisque j’étais là, est-ce que je pourrais être mimine et aller lui acheter un paquet de Gauloises et que je garderais la monnaie du billet parce que ça déforme les poches. Ce genre de choses. Je ne veux pas le savoir. J’ai oublié les paroles exactes. Les couleurs, mais pas les nuances. Les regards, les odeurs et l’effet qu’ils produisaient sur la peau et en dessous, je m’en souviens bien. »