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Dans le ghetto de Varsovie, les enfants juifs s’amusaient à imiter les gardiens SS quand les petits Polonais jouaient aux interrogateurs de la Gestapo. À Berlin, en 1945, des adolescents furent envoyés combattre les chars de l’Armée rouge avec des armes de fortune...
Qu’ont vécu et ressenti les enfants, aussi bien en Allemagne que dans les territoires annexés, au cours de la Seconde Guerre mondiale ?
Les plus jeunes incarnant l’avenir racial du Reich, les nazis commencèrent rapidement à écarter ou à tuer ceux qui le compromettaient : maisons de redressement pour délinquants ou supposés tels, stérilisation puis élimination des handicapés, extermination des indésirables...
Si un sort privilégié était réservé aux représentants de la « race aryenne » – qui, dans leurs jeux, recréaient les victoires de la Wehrmacht –, ces derniers apprirent à grandir sous les bombardements avant, pour certains, d’être entraînés dans une fuite éperdue pour échapper à l’avancée des Alliés.
Les liens familiaux explosant, les déracinements se multipliant, les enfants découvrirent l’impuissance et la vulnérabilité de leurs parents, le mensonge et la violence de la société, tout en devant assumer des responsabilités d’adultes pour survivre.
À partir d’archives inédites – devoirs d’écoliers, dessins, journaux intimes, lettres envoyées depuis les maisons de correction, témoignages rapportés par les travailleurs sociaux... –, Nicholas Stargardt livre une analyse novatrice et puissante des vies d’une poignée d’enfants de tous horizons que la barbarie nazie a fini par dévorer.